Thierry MARICOURT
Roman jeunes-adultes-ados
L'AUTEUR :
Il est né à Saint-Denis en 1960. Il est chroniqueur littéraire, poète, romancier, essayiste français. Il a occupé plusieurs emplois dans l'imprimerie avant de devenir libraire-éditeur à la fin des années 80. Son premier ouvrage paraît en 1990. Il anime aussi des ateliers d'écriture dans les prisons, les centres sociaux, les écoles, chez les gens du voyage, etc...
LE LIVRE :
Leur fausser compagnie (103 pages - 2015) Editions Chant d'Orties collection Graine d'orties
La narratrice est une jeune-fille de 13 ans : elle vit à Paris avec ses parents, elle va au collège, a des copines et des préoccupations d'ados. Mais un jour tout change : elle s'enferme, ne parle plus à personne, ne mange presque plus, fait pipi au lit toutes les nuits, ses cheveux deviennent gris et tombent parfois. Ils déménagent et soudain une certaine cousine Britta vient à son secours. Elle la force à sortir et surtout elle lui fait découvrir la bibliothèque de son quartier de banlieue. La jeune-fille va se plonger dans les romans, vivre avec les personnages et guérir peut-être ?
BIBLIOGRAPHIE : entre autres
Albums jeunesse :
Les belles babouches
Tout au bout de mon jardin
Les puces à mon chat
Romans jeunesse :
Le chien anarchiste
Les couleurs retrouvées
Romans ados :
Petit penaud
Déni de patrie
Romans adultes :
Toi, l'assassin
Mémoires d'un nouveau-né
le cœur au ventre
Ceux qui ne mentent jamais
Essais :
Hôtel Oasis pour Louise Michel
Plaidoyer pour Ravachol
Histoire de la littérature libertaire en France
Poésie :
L'excuse de la vie suivi de l'arbre le doute
MON AVIS :
Je n'ai pas beaucoup aimé le livre : c'est surtout l'écriture qui m'a déplu ; l'histoire en elle-même était intéressante mais je trouve le texte décousu, parfois sans queue ni tête. Je suis déçue. Et puis, le pourquoi de l'attitude de la narratrice tarde à arriver et ça empêche de bien comprendre le livre.
LES PLAISIRS DE LA TABLE :
Je n'ai pas du tout pensé à la cuisine en lisant le livre, j'ai surtout cherché à comprendre le texte.
Martine M.